Les experts ont parlé ! Seules les plus sombres des tragédies peuvent effectivement explorer la fragilité de l'existence humaine, l'agonie douloureuse de l'amour et du regret, et d'autres thèmes inhérents à la vie tels que « pourquoi maman ne t'a jamais aimé. » Toutes les œuvres qui finissent bien pour tout le monde ne sont que ramassis de bouse commerciales, voire même de la propagande. (Et les comédies ? Saloperie bourgeoise !)
Bien sûr, personne n'est jamais blanc ou noir dans ces histoires. Si il y a des personnages qui nous semblent sympathiques, il ne faut pas s'attendre à ce que leur souffrance soit le prélude à un triomphe ultime. Non, il faut qu'ils finissent traumatisés à vie, ou même brutalement éliminés voire tués avec tous leurs compagnons. Tant qu'à faire, si il y a un méchant, pourquoi ne pas le laisser s'en tirer sans une égratignure ?. Ca devrait faire passer le message : la vie n'est que souffrance.
Lié à Discrimination de la Comédie, Appât à Oscars, La Maturité c'est du Sérieux, Victime de la Médaille Newbery, Gros Bêta, l'Idéalisme c'est pour les Enfants, Dépression du Créateur et Guérison du Créateur.
Nuancer [Angst Aversion], et Gros Bêta, l'Idéalisme c'est pour les Nuls. [Darkness Induced Audience Apathy] est une réaction du public qui montre son désaccord avec l'utilisation de ce schéma.
Note : Exemples Au Sein de l'Œuvre Uniquement, merci.
Films
- Dans La Vie d'Émile Zola, Zola insiste pour écrire à propos des injustices et des maux de la société française. Quand son éditeur lui suggère d'écrire à propos de sujet plus sûrs, Zola réagit avec mépris, et se fait virer.
- Dans The Joy Of Painting, invoqué puis défié par Bob Ross, qui dit « On veut des peintures heureuses. Des peintures heureuses. Si vous voulez des choses tristes, regardez les infos. »
